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Voici la version LocoTrain de la page mise en cache http://perso.wanadoo.fr/pascal.baudouin/train.htm le April 12 2015 23:10:13.
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train accueil plan     le chemin de fer paris-bordeaux, une ligne privée ruffec-les plans (j.f.cail), niort-ruffec, et bientôt le tgv... paris-bordeaux une enquête sur l’avant-projet d’une ligne de chemin de fer de paris à bordeaux fut ordonnée par le préfet le 12 septembre 1839 quant à la partie traversant le département de la charente. la loi du 11 juin 1842, relative à l'établissement de grandes lignes de chemins de fer, précisait :  art 1° : qu'il sera établi un système de chemin de fer se dirigeant de paris.... sur la frontière d'espagne, par tours, poitiers, angoulême, bordeaux et bayonne... (et de même pour toutes les grandes lignes)... si le premier chemin de fer français était établi depuis 1837, il fallut attendre tout de même le 20 septembre 1852 pour voir fonctionner la ligne angoulême-bordeaux.   la ligne était terminée entre ruffec et angoulême au cours du mois de juillet 1853. la jonction poitiers-angoulême fut quant à elle établie au début de 1855, lorsque était ouvert enfin à la circulation sur une seule voie le tronçon ruffec-poitiers. trois mois plus tard, le 1er avril 1855, la circulation normale pouvait débuter. niort-ruffec les premiers projets datent de 1853 mais il fallut attendre 1885 pour la mise en service. la ligne paris-bordeaux, d'intérêt national, était exploitée par la compagnie d’orléans - on disait le po pour le paris-orléans. les chemins de fer de l’etat exploitaient quant à eux une partie importante du réseau de l’ouest, notamment en bretagne. un réseau d'intérêt local, en voie métrique, existait déjà en charente. ce réseau faisait l’objet d’une exploitation par la compagnie des charentes. c’est donc presque en pure logique que cette compagnie des charentes s’est vue confier le soin de réaliser la ligne ruffec-niort. cependant, en raison de nombreux déboires financiers et des mauvais coups portés par la compagnie d’orléans, cette compagnie dut être rachetée par les chemins de fer de l’etat en 1878. le projet de ligne ruffec-niort était repris par cette nouvelle compagnie. loco type 120 les projets, pas moins de quatre, privilégiaient soit une liaison directe entre niort et ruffec, évitant le plus possible les villes et villages, ou, totalement l'inverse, avec un chemin de fer serpentant entre villages et hameaux.  découvrez en cliquant sur ce lien la carte inédite de ces projets... le tracé définitif était une combinaison de ces projets. le tracé (19 km 957 m 66 cm) commençait à la limite des départements des deux-sèvres et de la charente, à 100 mètres environ au nord de la rivière de l’aume, suivait le flanc droit de cette vallée en se rapprochant de paizay-naudouin, traversait le petit aume et se dirigeait vers villefagnan en restant au nord en presque parallèle au chemin de grande communication de couture-d’argenson à civray. après avoir traversé ce chemin non loin de villefagnan, il se dirigeait en ligne droite sur le hameau de la groge, remontait vers la faye, passait au nord du hameau de veillemorte et se raccordait avec la grande ligne de tours à bordeaux à 570 m 47 de la station de ruffec côté bordeaux. ce tracé ne rencontrait aucun cours d’eau important et comportait 2 stations, celles de paizay-naudouin et de villefagnan. une halte était projetée à la faye, au point où se terminait la double voie venant de ruffec. station de paizay-naudouin station de villefagnan lors de la mise en service, il n'y avait pas encore de halte à raix. trois trains de voyageurs (locomotive type 120) parcouraient quotidiennement cette ligne dans chaque sens. de niort à ruffec, il fallait que les voyageurs comptent environ 3 heures de trajet en 1885 et 2 heures en 1937. de même, deux trains de marchandises.. par jour dans chaque sens.    dans les années 1930, les achats des mulets et de chevaux se faisaient directement dans les écuries des propriétaires, avec pour conséquence d'entraîner rapidement la disparition des foires aux bestiaux. avec la mécanisation, la clientèle décroissait (notamment l'armée, important placement de mulets pour les troupes de montagne, et de chevaux pour l'artillerie.après de nombreuses années d'exploitation, le service voyageur n'avait plus le même intérêt. avec l’arrivée des voitures automobiles, et la concurrence pressante des premiers services d’autocars, le service des voyageurs dut être interrompu en 1938. remplacé provisoirement par un service d’autocars brivin, ce service reprit toutefois partiellement pendant la guerre... puis, en 1949, après de nombreuses démarches des élus locaux, un service d'autorail fut projeté. il fonctionna jusqu'en 1954. le conducteur de l'autorail s'appelait andré tessier (des parents à hanc). monsieur jacques chaban delmas, en 1954, ministre des travaux publics, des transports et du tourisme, se prononçait pour la suppression du trafic marchandises en gares de villefagnan et paizay-naudouin en le remplaçant par une desserte routière. le tronçon de chef-boutonne à paizay-naudouin fut déclassé le premier : décret du 12 novembre 1954. ensuite, celui de paizay-naudouin à ruffec subissait le même sort : décret du 24 mai 1960. pour tout complément d'information historique : pbaudouin@wanadoo.fr et maintenant avec le tgv, l'histoire se renouvelle... consultez ces sites référents : la lgv atlantique cheminet et les cartes du tgv autres infos   accueil plan haut de page  
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